Suite de mauvais rêves, sans doute parce que je dors la fenêtre grande ouverte ; rêvé de Stéphanie, ce que je considère comme un mauvais présage. Levé sans réveil à sept heures à peine passées, je crois pour la première fois de l’année.
Quand je prétends que la vie est vraiment gouvernée par le hasard. J’avais donné rendez-vous à Victoria vers cinq heures à une terrasse du Bouffay, pour qu’elle m’aide à acheter un cadeau pour Père, dont c’était l’anniversaire dimanche. Lorsque je suis arrivé, elle était attablée avec Coline, Mathieux et… Sarah. Inutile de dire qui j’ai vu en premier, au travers des piliers des halles du marché, depuis l’autre bout de la place. Mon cœur a fait un bond.