Malade. Reprise des vertiges intolérables.
Archives de l’auteur : François Balogh
Lundi 4 décembre 2000
Eurêka, de Shinji Aoyama avec Ermold. Drôle de film, beau et plutôt prenant malgré ses trois heures quarante — pendant lesquelles je me suis beaucoup moins ennuyé que lors de films deux fois plus courts. Continuer la lecture
Dimanche 3 décembre 2000
Hier soir, dîner chez Martial et Sandrine avec Clément et Hélène. J’avais projeté que nous regardions Seul contre tous de Gaspard Noé, dont Florence m’a prêté la cassette au temps où nous étions encore Continuer la lecture
Samedi 2 décembre
Flesselles. Emma Peel et Loïc à propos de Florence – ils m’ont semblé avoir fomenté une entente pour ne pas me parler d’elle. J’en ai souffert parce que je ne désirais que ça, mais Continuer la lecture
Mercredi 29 novembre
Plutôt que de me mettre à ma thèse ce soir (après l’après-midi passé à chercher comment présenter aux étudiants demain une logique formelle que je ne connais moi-même que très mal Continuer la lecture
Mardi 28 novembre
Rendez-vous ce matin avec un employé de mon agence du Crédit Agricole pour discuter d’épargne, qui m’a mené dans son bureau exigu. Un type vulgaire, approchant la trentaine et déjà un peu empâté Continuer la lecture
Lundi 27 novembre
Très satisfait de ce que j’ai vu aux 3 Con cette année. L’année dernière je m’étais abstenu pour cause de thèse, mais c’était idiot : j’ai pu en voir six cette fois-ci, sans pour autant cesser de Continuer la lecture
Dimanche 26
« Il savait que nous ne pouvons que fort peu nous aider mutuellement, que dans l’intérêt de notre bonheur nous sommes obligés de nuire aux autres Continuer la lecture
« Il savait que nous ne pouvons que fort peu nous aider mutuellement, que dans l’intérêt de notre bonheur nous sommes obligés de nuire aux autres Continuer la lecture
Vendredi 24 novembre
Toujours les mêmes problèmes de réveil : levé à onze heures dix pour mon rendez-vous à la demie avec le docteur Moreau (et j’ai réussi à n’avoir que cinq minutes de retard) ; comme hier où Continuer la lecture
Mercredi 22 novembre
J’apprivoise le jeu parfois sec et haché de Sonny Rollins (les quartets avec Jim Hall à la guitare, ou avec Sonny Clarke au piano) ; rien du tellurisme de Wayne Shorter ou Coltrane. Tout en m’évertuant à Continuer la lecture