Suite de la semaine, et sur le même ton. Hier soir, terminé à une rave dans un autre entrepôt abandonné à Chantenay, décevante : froid, musique trop ou pas assez rude — rien de commun avec Continuer la lecture →

Je comptais aller voir un film cubain aux 3 Con, mais une fois dans la salle, un type vient nous expliquer que le sous-titrage électronique ne fonctionne pas ; comme c’est (nous dit-il) un film qui n’arrête pas de parler, je préfère Continuer la lecture →

Ce soir concert du Jon Spencer Blues Explosion. (En première partie, Andre Williams, un papy sauvage, pas piqué des vers, sorte de Samy Davis Jr réincarné, avec cheveux gominés, moustache, grande gueule, et Continuer la lecture →

Terminé la lecture du second livre acheté cet été à Montréal, Les Confitures de coings, de Jacques Ferron. Le premier, Les Vendeurs du Temple, d’Yves Thériault, était un roman très classique dans sa forme, Continuer la lecture →

Hier à Rennes, cette fois avec Baptiste, pour une conférence de Gagnepain. Encore une fois, ce salaud de Branger a fait tout ce qu’il a pu pour m’éviter. Continuer la lecture →

Enfin répondu à la lettre de Marie-ève ; j’espère qu’elle n’arrivera pas trop tard au Sénégal, et qu’elle ne m’en voudra pas d’avoir tant tardé à lui donner une réponse qui était tout de même un peu Continuer la lecture →

Gros rhume depuis quelques jours. Je n’arrive pas à consacrer une minute à mon travail ; incapable de me concentrer, et même de me lever à une heure décente. Ça fait chier, ça n’avance pas Continuer la lecture →

Ce soir, à l’issue d’une journée de déprime tendue et où j’ai été un peu malade, accepté la suggestion de Sonia d’aller voir Ceux qui m’aiment prendront le train de Patrice Chéreau (je n’étais Continuer la lecture →

Hier, crémaillère de Père dans la maison qu’il a achetée, paumée dans la campagne loin sur la route de Saint-Malo. Une grosse fête, qui aurait pu être bien si elle n’avait pas été entachée (mais je savais que Continuer la lecture →

Poursuivi avec passion la lecture de Mihail Sebastian. C’est fou comme il y a identification ; comme lui (alors que sa situation pendant la Guerre est d’un tragique et d’une précarité que je ne Continuer la lecture →