Sorti boire un verre à la terrasse du Change en début de soirée avec Radulphe et Wolbodo, le frère d’Adalard. J’étais en forme, mais ma voix avait du mal à tenir sa gravité. Discuté du voyage qui Continuer la lecture →

Je n’ai strictement rien foutu de la journée, et je n’ai vu, ni parlé à personne. Il m’a été impossible de me concentrer sur quoi que ce soit. J’ai tourné en rond, passé beaucoup de temps Continuer la lecture →

Pour m’aider à ne pas trop désespérer lorsque mon travail n’avance pas (dans ces cas-là, me vient sans cesse à l’esprit l’idée de me planter un bambou pointu dans le ventre — je ne sais Continuer la lecture →

Réveillé la gueule dans le cul, crevé toute la journée ; mais chaque fois que j’ai voulu aller faire la sieste, j’ai été interrompu. Chez le docteur Moreau, avec qui j’ai fini par revenir sur mon enfance Continuer la lecture →

Ce matin, je me suis décidé à aller chercher à la médiathèque les articles sur les manifestations de VidéOzone que nous n’avons pas eu sur le moment. Recherche longue et fastidieuse, pour un résultat minime Continuer la lecture →

Me penchant à ma fenêtre sur la rue Saint-Pierre, j’ai aperçu, comme au-dessus des toits, un bâtiment imposant qu’il ne me semblait pas connaître. Pas connaître sous ce jour, en fait : c’est un des angles Continuer la lecture →

Une heure au téléphone avec Florence ce soir. Elle est fatigante. À la fin j’avais la bouche complètement desséchée de parler, même si je l’ai surtout écouté parler elle, et qu’il fallait surtout Continuer la lecture →

Retour à Nantes, sans plaisir. Vendredi, et surtout samedi, j’ai complètement bloqué sur ma thèse — alors que les trois jours précédents, j’avais plutôt bien marché, même si mon retard s’est encore Continuer la lecture →

Province de l’arbre

paysagiste de mots Continuer la lecture →

Le sang coule, paraît-il

n’est-ce pas plutôt Continuer la lecture →