dim. 16 février 1997. Depuis ma retraite de stylite

Il est près de huit heures du soir. Je ne me suis levé que dans le courant de l’après-midi — et encore n’ai-je pu résister à m’affaler à nouveau sur mon lit quelques minutes tout à l’heure, mais sans parvenir à dormir. Seulement la position couchée était la seule supportable. Puis à nouveau allongé sur le parquet du salon, Continuer la lecture