Terminé un nouveau chapitre : sur « l’épistémologie galiléenne » et la grammaire générative. Trente-deux pages. Vers une heure et demie du matin, un appel d’Ermold saoul comme un cochon Continuer la lecture
Archives de catégorie : notes XVIII. La Poudre aux yeux
Lundi 9 octobre 2000, Nantes
Invité hier soir à Guérande à une petite fête chez les parents de Mathieu pour fêter ses trente ans. Une drôle d’idée qui est en train de faire son chemin, après que la même chose se soit passée pour Mathix cet été Continuer la lecture
Samedi 7 octobre 2000, toujours Nantes, toujours le Flesselles et l’Atomixeur
Mes résolutions de limiter les sorties commencent mal : j’ai refait aujourd’hui le même circuit qu’hier. Autant d’alcool, de conversations sans autre feu que celui de l’énervement. Autant de Continuer la lecture
Vendredi 6 octobre 2000, Nantes
L’amour rend les gens beaux, les femmes surtout bien sûr. Sylvia n’était pas mal, par exemple ce soir. De la voir si caressante avec son nouveau mec m’a fait ressentir une pointe de jalousie — aucune femme Continuer la lecture
Jeudi 5 octobre 2000, Nantes
Terminé hier soir une grosse biographie de Proust. Un genre que je ne prise pas tellement ; mais je me suis laissé prendre par le flux des évocations qui naissaient pour moi de la lecture Continuer la lecture
Mercredi 4 octobre 2000, Nantes
Terminé hier soir tard de rédiger une première version de mon chapitre d’après mon plan. Vingt-cinq pages ; dix jours de travail étalés sur une petite quinzaine, avec une moyenne de 7800 caractères par jour : Continuer la lecture
Lundi 2 octovel 2000, NnnNantes
Soirée avec Ermold au bar. Je ne peux imaginer passer une journée sans voir un ami (c’est ce que je lui ai dit). Ce serait différent si j’étais avec une fille. Mais seul, le même type de sentiment me pousse à aller retrouver Continuer la lecture
Dimanche 1er octobre 2000
Déjeuner au Pont chez les parents. Pour ma fête (c’est mercredi qui vient), ils m’ont offert le disque solo de Yo-Yo Ma : des morceaux magnifiques pour violoncelle seul, de Zoltan Kodály et d’autres compositeurs plus contemporains — une musique puissamment méditative.
Samedi 30 septembre 2000, Nantes
Au concert du nouveau groupe d’Arnaud, pour la réouverture du Pannonica. Ils ont recruté un violoniste de premier choix ; dans son jeu, on entend aussi bien le swing qu’Ornette Coleman, Webern, Continuer la lecture
Vendredi 29 septembre 2000, Nantes
Rentré chez moi à deux heures, et hurlé : mon répondeur est bloqué par trois messages qui ont saturé la mémoire. Deux de Florence, et un de Xavier : je ne les ai pas encore écoutés (ça me fait toujours flipper). Continuer la lecture