Donc semaine à Méliniac, isolé pour travailler : pour un résultat médiocre — très en deçà des prévisions. Je n’ai pourtant pas ménagé mes efforts (cette angoisse qui sans cesse me taraude ! Quand réussirai-je à Continuer la lecture
Archives mensuelles : juillet 2024
Mardi 20
Je viens de me faire renvoyer dans mes foyers par Sonia, à qui j’avais proposé de passer le weekend prochain à Méliniac avec moi (j’y serai tout seul). Continuer la lecture
Lundi 19 juillet 1999, Nantes
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Dimanche 18 juillet 1999, Nantes
Soirée de samedi assez horrible.
Nantes, fin d’après-midi du 17
Je suis arrivé un bon quart d’heure en avance à l’église, dont deux petites commères terminaient à peine de balayer les marches des reliquats d’un mariage, gros confettis de couleur pastel. Continuer la lecture
Samedi 17 juillet 1999, Le Pont
Hier soir en terrasse avec Broerec, rejoints par Delphine (une autre Delphine, pas Delphine Salaün) et son mec, qui vient de signer son contrat dans une fameuse boîte de création multimédia à Paris (des jeux vidéo notamment). Autant dire qu’il était content. Ce matin, Continuer la lecture
Vendredi 16 juillet 1999, Nantes
Maman : « Bonjour François, deux informations. Une première : une lettre de l’université est arrivée pour toi aujourd’hui. Deuxième information, Tante Odette sera inhumée samedi après-midi ; à quatorze heures. À bientôt. »
Jeudi 15 juillet 1999, Nantes
Tante Odette est morte ce matin à cinq heures, Maman m’a appelé pour me l’apprendre ; elle l’a vu hier, et elle avait le souffle court et le râle d’une mourante. Elle était méconnaissable, Continuer la lecture
Mardi 13 juillet 1999, Nantes
Plus de deux heures au téléphone avec Clément dans l’après-midi (dont une où c’est moi qui l’appelais, au tarif plein, ça va me coûter pas mal). L’initiative en est venue à Hélène : puisqu’il parlait depuis longtemps de Continuer la lecture
Lundi 12 juillet 1999, Nantes
Weekend court à Méliniac, occupé surtout à de nombreuses parties de badminton en double, Joris et moi contre Loïc et Sylvain, souvent particulièrement emplies mauvaise foi. J’en reviens perclus de courbatures.