Mixé ce matin avec Loïc son morceau chez Mathieux, qui est un peu mieux équipé que moi pour ça (il a au moins une vraie chaîne hifi). Le son n’est pas terrible, non plus que pour mon morceau, Continuer la lecture →

Enregistré Loïc pour le projet de reprises de chansons de Clément dont j’ai eu l’idée (mais il n’y aura que le sien et le mien de prêt pour mon départ ; le reste viendra plus tard). Il a été très bon, comme d’habitude, et Continuer la lecture →

Tout un programme d’acheter des cigarettes un samedi après-midi en août, la canicule accentuant l’impression de torpeur générale de la ville (même à vélo, l’air dans lequel j’entrais avec la vitesse brûlait). Place Continuer la lecture →

Une journée et demie avec Joris à Méliniac, où les parents sont en vacances. Parmi les premiers jours de vraie grande chaleur de l’été ; au-delà des trente degrés. On a choisi ce moment-là pour aller voir Continuer la lecture →

Ma réflexion, ou ma connaissance du domaine dont je suis supposé m’occuper universitairement, manque de profondeur. Hier à la terrasse du Change, lorsqu’il a fallu expliquer à Mathieux pourquoi les arguments Continuer la lecture →

Tout me déplaist, mais rien ne m’est si grief

Que ne voir plus les beaux yeux de ma Dame,

Qui les plaisirs les plus dous de mon âme

Avecques eux ont emporté la clef.

Dans l’après-midi, avec Joris, vu la copine parisienne de Mathieux, passée à Nantes (il faut voir comment il lui fait les yeux doux : Continuer la lecture →

Séquence excellente dans un documentaire : la caméra filme la rue d’un village pavoisé pour le passage de Mussolini d’immenses calicots DVCE ; tout le long du chemin, les paysans ont aligné leurs vaches en rang d’oignons : et elles meuglent ! et elles meuglent !

Marie-Charlotte rentrée de Paris (où elle prend un appartement). Ermold et moi n’osions appeler Paul, qu’on n’a guère vu ce mois-ci ; elle l’a fait. Il est venu, accompagné du sempiternel Continuer la lecture →