10 juin, le temps est à l’orage

Passage à Nantes de Clément et Hélène pour quelques jours : on est allé au café. Malgré la joie de les revoir, je me suis senti à côté de la plaque. En fin de soirée, Fred a proposé qu’on monte sur les toits de la cathédrale (elle est en réfection et entourée d’échafaudages, auxquels on peut accéder à un endroit), mais ils ont refusé. Dommage, ça m’aurait bien plu, mais je ne voulais pas non plus rentrer à pied chez moi. Est-ce pour cela qu’aujourd’hui j’aurai été si inactif ? Levé onze heures, sieste vautré dans mon fauteuil de deux à trois heures et demie, et même après une douche, ce sentiment d’inutilité bien connu à me courir les veines.

Sorti boire un verre, tout de même avec Cédric Maindron et sa copine. Je les aime bien (quoiqu’elle soit tout de même assez superficielle). Il m’a pourtant fallu un prétexte pour me résoudre à appeler : rendre enfin à Cédric les (nombreux) documents qu’il m’avait prêtés au printemps pour mes cours de communication. Je le referai, cette fois sans prétexte. Assis en terrasse du Duo rue Scribe (le café qui jouxte Tacoma), soirée bien agréable.