Après un réveil tardif, j’ai relu l’extraordinaire nouvelle « La méningite et son ombre » de Horacio Quiroga. Quand je l’ai eue envoyée à Clément au printemps, il m’a répondu qu’il l’avait trouvée tellement bien qu’il la mettait de côté, parmi les sujets qu’ils aimerait un jour adapter au cinéma. À la relire, j’ai pensé que participer à la mise en scénario me plairait ; je vais peut-être essayer d’en jeter quelques idées sur le papier (enfin je dis ça… ce qui est une autre façon de ne rien dire).