Lundi 11 mai 1998, Nantes

Journée de grande chaleur. Mathieux et Fabien (ex-Bad Wound) sont passés prendre mon ampli pour les concerts de Loïc et Fabrice Meunier à l’Olympic. Fabien va jouer un peu de guitare avec ce dernier. Très en retard mais avec une batterie d’excuses comme d’habitude. Je n’ai pas réussi à avoir d’invitation par leur biais, je n’irai donc pas : chaque concert ne durera qu’une demie heure à peine, ça m’ennuyait d’acheter une place (d’autant plus que le reste ne m’intéresse pas). Joris, lui, en a eu une ; il retrouvera là-bas Stéphanie, revenue plus tôt que prévu de Londres : je ne sais pas s’il fait bien.

Envies d’étreintes, vous n’avez jamais été aussi fortes !

Minuit. Suite à la conversation de samedi avec Loïc (nos vieilles racines new wave d’anciens combattants ressortent souvent), remis le premier album de Dead Can Dance, que je n’avais pas écouté depuis des années. Je crois que je sais beaucoup mieux l’apprécier maintenant.