Méliniac, samedi 25 juillet

La semaine aura passé à toute allure, je n’aurai fait que le quart de ce que je m’étais promis. Terminé le premier tome de La Révolution galiléenne de Gusdorf, très intéressant (je l’ai lu autant pour le plaisir que pour le travail — ce qui n’est pas signe d’une grande efficacité). Avancé, mais pas suffisamment, le morceau pour Clément. C’est à peu près tout. Et peu de goût pour écrire. Hors de mon cadre habituel, j’ai toutes les peines à en trouver l’envie — écrire ici, j’entends ; pour le reste, ça dépend de la motivation. Je ne me suis pas baigné, et je n’ai mis les pieds sur la plage qu’une seule fois, jeudi soir avec Joris. On a fumé une cigarette, et il faisait froid.

Ce matin, Joris ne s’est réveillé qu’à neuf heures moins vingt, alors qu’il commence à huit heures. Départ en catastrophe cinq minutes à peine après qu’on se soit levés.