Dimanche 15 février 1998, Nantes

La journée s’annonçait comme tous les lendemains de fête, et puis vers cinq heures (je sortais de la douche) Clément est passé, pour me dire au revoir et que j’enregistre ses nouveaux morceaux, qui n’étaient pas sur la cassette qu’il m’avait envoyée de Montréal ; dans la foulée il m’a déposé rue de Budapest, et je suis passé chez Marie-Charlotte, qui m’a raconté une nouvelle fois l’infernal Ermold, parfois tellement impossible qu’elle pourrait « le quitter alors qu’elle l’aimerait encore ».