Jeudi 16 juillet 1998, Nantes

Je ne veux pas croire au hasard. Moi qui ne casse d’habitude presque jamais rien, ce sont en deux jours une bouteille d’huile d’olive à moitié pleine, une assiette, et, ce matin, mon cendrier tunisien, qui m’ont échappé et sont allés se fracasser sur le sol. De là à dire pourquoi, je n’en sais rien (mais je ne peux m’empêcher d’espérer que ce sont des sautes dans une progression — que je n’ai pas encore repérée).

Jour de grande pluie.