Déjeuner chez les parents au Pont.
Madeleine part demain.
Je lui prête ma télé, et quelques livres.
Passé un moment voir Arnaud et Sophie avec Joris.
Ce soir, fatigué. Des flocons de neige sont tombés en abondance ; pendant cinq minutes.
Il faudrait travailler, au moins cette nouvelle sur l’erreur, pour un concours à la fac ; mais je n’ai pas l’énergie.
Et mes idées sont si maigres.
(pourtant dans la semaine
le coup de fil inattendu
d’Audrey de Toulouse :
elle voulait des renseignements pour y participer
elle aussi — renseignements
que je n’avais pas. Dire
qu’il a fallu qu’elle demande
si je me souvenais d’elle,
pour commencer)