Surprenant engouement pour notre projet de montrer du Bénazéraf ; les suggestions surgissent de toutes part — et même les propositions : Marc Ausone, qui nous avait lancé jeudi l’idée d’un petit catalogue raisonné de l’œuvre, se proposerait pour l’imprimer gratuitement par le biais du service de communication de son entreprise. Joris n’a pas l’air trop réticent ; voilà beaucoup de travail en perspective. Entre ma thèse, Florence, ces histoires de cinéma et les projets (pharaoniques) de VidéOzone, je ne sais pas du tout comment m’en sortir — ni si c’est bien sérieux. Mais je sens un courant ces temps-ci, qu’il ne faut pas manquer de prendre.
Au Pont, regardé avec Papa Le Septième ciel de Benoît Jacquot à la télévision ; enfin je ne l’ai regardé que par intermittence, je voulais écrire à Clément avant de me coucher. Mais ce que j’en ai vu m’a beaucoup plu ; les trois acteurs principaux, en particulier, étaient excellents : Sandrine Kiberlain, Vincent Lindon, tous deux au-delà du crédible, et François Berléand, dans le rôle d’un hypnotiseur inquiétant[1]
[1] Evidemment, en 2025, on relit la scène ci-dessous tout autrement qu’on ne le pouvait à l’époque…
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