Mardi 21 mars 2000, Nantes

Ramené Mathieu de Saint-Nazaire, après une journée pas passionnante. Florence et moi devions nous voir ce soir, peut-être pour aller au cinéma, mais lorsque j’appelle comme convenu, elle me dit qu’elle est malade : mauvais signe ; quelques semaines plus tôt, ce n’est pas ce qui l’aurait dérangée. Et comme le père de sa fille est là jusqu’à demain et loge chez elle, évidemment aucune autre possibilité qu’on se voie. Ça sent le roussi. Mauvaises heures avant un coucher pourtant trop tardif, scotché devant l’écran de l’ordinateur. Quatre jours et demie que j’attendais que nous fassions l’amour…