Vendredi 21 juillet 2000, Méliniac

Lourd toute la journée (je n’ai pourtant guère mangé). Fait la sieste de deux à trois, des courses au Leclerc en fin de matinée, acheté des clopes au bureau de tabac sur la place du marché à Méliniac. Peu travaillé, au contraire des deux jours précédents. Peut-être parce qu’hier soir j’y suis resté tard, jusqu’à plus de deux heures et demie ; ou parce que j’ai pas mal bu en écrivant ; parce qu’il faut que je me plonge désormais dans des questions linguistiques compliquées. Écrit des poèmes, sans cesse à la musique que je ferai lorsque j’en aurais fini avec tout ça