Mercredi 1er mars 2000, Nantes

Déjeuner avec Florence au restaurant japonais (comme dans Monsieur Jean), puis un café chez Joris, et dans mon ancien appartement pour prendre le courrier : les parents y étaient à vider les meubles, et une partie des tapisseries avait déjà été enlevée ; Maman a prétendu que j’ai laissé les lieux dans un état de saleté pas possible : c’est exagéré, mais pas entièrement faux, puisque j’ai cessé à peu près tout ménage dès que j’ai su qu’il me faudrait partir. Au courrier, un petit mot daté du 10 janvier : de Ténèbres Secrets. Me promettant une lettre — qui, si elle a été écrite, viendra peut-être dans les jours prochains. Je ne sais s’il faut ou non l’espérer : tout ceci me ramène avant que je ne rencontre Florence ; un autre béguin.

Travaillé un peu ; visite de Florence venue me conter ses dernières mésaventures, et qui me pousse à laisser tomber VidéOzone pour ma thèse : elle sait bien pourtant que je ne le ferai pas, même si sa position n’est pas infondée (je suis tellement en retard !). Néanmoins, vers neuf heures, avec Ermold au Flesselles discuter de nos affaires — rejoints par Broerec. On devait ensuite aller regarder des bandes qu’il a reçues, choisir ce qu’on en achète pour notre performance, mais comme le patron du Flesselles nous a retenus un bon moment pour qu’Ermold nettoie son ordinateur (webcam ou pas, cette machine a toujours eu des problèmes), terminé plutôt à l’Atomixeur. Chez Florence alors qu’il était presque deux heures du matin — affirmant que j’avais bien passé la soirée chez Ermold.