Une fois chez moi, matinée à régler de petites affaires. M’y suis mis un peu à ma thèse dans l’après-midi. En début de soirée chez Ermold[1] pour visiter un lieu possible pour une intervention de notre « collectif » ; réunion qui ne m’a pas intéressé. Et nous n’aurons de toute façon jamais le temps de faire tout ce qu’on a en vue — lui et moi sommes déjà débordés, et par des choses plus urgentes ou importantes. Ensuite il m’a traîné au Flesselles, où nous avons été rejoints par Broerec et un Radulphe très en verve — moi je l’étais peu, et j’ai très vite été chaud. Rentré à la fermeture pour retrouver Florence, pour une soirée de simili-dispute à nouveau (liée au début à ce que je me suis mis à débander : ça me rend toujours très nerveux. Mais s’entendre donner des instructions comme pour une manœuvre de grue lorsqu’on fait un cunnilingus, croyez-moi, ça n’a vraiment rien d’érotique…).
[1] Il en a profité pour me montrer ses toilettes, tant vantées depuis qu’elles ont été repeintes et décorées à la manière d’une soute de cargo rouillé : c’est en effet saisissant, on se croirait dans un décor de Matthias Langhoff (d’autant plus qu’il y a trois mètres cinquante sous plafond). En revanche, ça m’étonnerait que ça séduise de futurs locataires.