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Neige intérieure

les carnets de F. B.

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Archives mensuelles : avril 2025

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Samedi 8 avril 2000, Nantes

Publié le avril 8, 2025 par François Balogh

Levé tôt, et avec quelle difficulté ! pour aller surveiller le concours blanc de mes étudiants en médecine la gueule dans le cul total ; retour avec mes copies — dont j’aurai réussi à corriger une trentaine Continuer la lecture →

Publié dans notes XVIII. La Poudre aux yeux

Vendredi 7 avril 2000, Nantes

Publié le avril 7, 2025 par François Balogh

Journée commencée par l’histoire de l’âne de Buridan et par la fable du lièvre et de la tortue — toutes choses qui s’appliquent à moi. Sorti mon amertume et mon incapacité à réagir dans le cabinet du docteur Moreau. Qui m’a au moins Continuer la lecture →

Publié dans notes XVIII. La Poudre aux yeux

Jeudi 6 avril 2000, Nantes

Publié le avril 6, 2025 par François Balogh

Une nouvelle journée bien mal commencée, où Florence m’a manqué terriblement. Elle a fini par passer, après que je lui aie donné un coup de téléphone en début d’après-midi, mais avec deux Continuer la lecture →

Publié dans notes XVIII. La Poudre aux yeux

Mercredi 5 avril 2000, Nantes

Publié le avril 5, 2025 par François Balogh

Enfin envoyé quelque chose à Branger : 67 pages — même pas un chapitre entier, même pas une sous-section complète (mon travail, aussi lentement va-t-il, prend des proportions gigantesques à mesure). J’en suis Continuer la lecture →

Publié dans notes XVIII. La Poudre aux yeux

Dimanche 2 avril 2000, Nantes

Publié le avril 2, 2025 par François Balogh

Levé pareil, et relu des notes pour mon prochain sous-chapitre avec peu d’entrain. Joris est passé pour me faire lire son texte pour la Femis — que je trouve bien — et m’emprunter mon appareil Continuer la lecture →

Publié dans notes XVIII. La Poudre aux yeux

Samedi 1er avril 2000, Nantes

Publié le avril 1, 2025 par François Balogh

Levé midi encore. Terminé le roman en fumant des clopes ; c’est assez terrifiant, sans issue, mais comme chacun voit midi à sa porte, j’y ai beaucoup vu l’incroyable (et très peu réaliste, mais ça n’a rien d’un roman réaliste Continuer la lecture →

Publié dans notes XVIII. La Poudre aux yeux

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