dimanche 13 août 2000, Nantes,
22:35—00:10 Continuer la lecture
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Donc, rendu à cette (pour moi) drôle d’invitation, mi-repas de famille, mi-réunion de copains, sur la terrasse d’une maison de vacances typique de la côte sud-Loire, sous les pins. Continuer la lecture
Elle est passée ce matin, comme elle l’avait dit. Accompagnée d’Anna comme d’habitude (la petite jolie comme un cœur). Elle avait dit 10h et ½, et j’ai piaffé d’impatience toutes les minutes Continuer la lecture
Entendu à la radio le final de L’Arlésienne de Bizet. Ce genre de musique, c’est comme si on arrangeait artistiquement sur une assiette de prix un jambon blanc-purée Mousseline et qu’on l’avalait avec des couverts en or Continuer la lecture
Toujours sous le coup de la même sévère léthargie, je me suis encore levé à seulement treize heures. Rêves nombreux ; que je faisais l’amour avec Sylvia, et que nous mangions des soupières de potage asiatique, Continuer la lecture
Forte chaleur (front en sueur au bout de quelques mouvements à peine). Dormi presque toute la journée. Donc très peu travaillé : une heure, guère plus, entre six et huit heures. Tapé quelques idées Continuer la lecture
En fin d’après-midi à Saint-Lyphrad chez Ermold avec Broerec et Céleste (resplendissante). Temps agréable. Abattu quelques arbres dans le jardin à la tronçonneuse (un engin dangereux), activité amusante et Continuer la lecture
Déjeuner au Pont, pour le retour de Mady (elle est en vacances), avec les fraternelles prises de bec habituelles — qui me touchent néanmoins peut-être un peu plus que Joris et Madeleine, quoique Continuer la lecture
Réveillé avec un bon casque à boulons, et resté à écouter une émission sur Jean Yanne à la radio, avec des moments qui m’ont fait bien rire. Son mauvais esprit bourru est réjouissant. Continuer la lecture
Journée de pas grand-chose. Peu travaillé, fait la sieste en fin d’après-midi (comme quoi je suis vraiment fatigué). Le docteur Moreau m’a dit que je n’étais pas assez pervers — mais comme les médicaments Continuer la lecture