Hier soir, dîner chez Alex avec aussi Joris, Virginie (la copine de Stéphanie qui a une voix éraillée) et Lionel Mabillon, son nouveau mec — société nouvelle pour moi, même si ce sont des gens que je connais Continuer la lecture
Archives de l’auteur : François Balogh
Mercredi 27 septembre 2000, Nantes
Hier soir, parfaite incapacité à travailler — mes vertiges continuent. En fin de soirée lorsque j’ai pris un verre avec Ermold au Santeuil, j’étais pris de bouffées de chaleur qui me faisaient fondre dans mes vêtements, Continuer la lecture
Mardi 26 septembre 2000, Nantes
Première journée de cours hier, avec peu d’entrain et un mauvais état de santé : fatigue, et reprise de mes vertiges de la semaine passée, quoiqu’avec moins d’intensité (sinon, j’aurais été bien incapable Continuer la lecture
Dimanche 24 septembre 2000, Nantes
Hier soir chez Joris pour un apéritif debout, prolongé jusqu’à cinq heures du matin passées (avant ça, un après-midi de travail éreintant, et un passage au Flesselles pour voir si Sylvia y serait : Continuer la lecture
Samedi 23 septembre 2000, Nantes
Une autre belle journée. Levé sans trop de difficultés, et allé au yoga. Cet fois-ci j’ai eu le prof en titre, homme élancé Continuer la lecture
Vendredi 22 septembre 2000, Nantes
Après deux jours de pluie sans discontinuer, beau temps de demi-saison. Cours des Cinquante-otages, pas de voitures aujourd’hui : c’est le fameux jour poudre aux yeux où les villes sont censées Continuer la lecture
Mardi 19 septembre 2000, Nantes
Comment n’y ai-je pas repensé avant ? Le souvenir, aigu comme un dard, m’en a inondé l’esprit alors que je marchais dans la rue. Hier, Florence me racontait qu’elle était allée au vernissage d’une expo Continuer la lecture
Lundi 18 septembre 2000, Nantes
Hier soir malgré mon état (largement empiré), je suis sorti voir Fast Food, Fast Women d’Amos Kollek, avec la magnifique et étrange Anna Thompson. J’y suis allé sur le conseil de Florence, ou plutôt pour plonger un peu Continuer la lecture
Dimanche 17 septembre 2000, Nantes
Malade. Je suis pris de légers vertiges, avec l’impression de flotter à quelques centimètres au-dessus du sol. Grande fragilité. Accepté pourtant d’aller au vernissage du FRAC — dans leurs nouveaux locaux Continuer la lecture
Mercredi 13 septembre 2000, Nantes
La lecture de Ponge me fait penser que ma propre poésie n’est pas bien intéressante. Ce n’est pas une question de qualité intrinsèque, si tant est que ça existe et qu’elle en ait. Mais elle n’a Continuer la lecture