En rentrant, un message de Florence. Qui commence par faire remarquer que bien sûr je ne suis pas là, puisqu’« on est samedi soir » ; elle a trouvé un travail à Paris, « dans le 1^er, un quartier que j’adore » : Continuer la lecture →

Je n’arrive même pas à me rappeler ce que j’ai fait aujourd’hui — preuve que ça n’était pas passionnant. Soir à l’Olympic avec Loïc et Philippe, plus par envie d’aller à un concert qu’autre chose. Continuer la lecture →

Hier soir, rentré fatigué, et donc très déprimé. Une soirée solitaire de défaite, mais seule façon que j’ai pu envisager de ne pas m’étioler de manière insupportable. Diluer Continuer la lecture →

Dormi à six heures du matin seulement. Je suis capable de souffrir pour quelqu’un beaucoup plus que je n’ai su l’aimer… Continuer la lecture →

Trois jours, globalement, de grande médiocrité, où je me suis beaucoup débattu, et souvent battu moi-même. J’ai d’ailleurs Continuer la lecture →

Ce matin lorsque le réveil a sonné à huit heures, je rêvais ; je ne me souviens plus de quoi, mais je rêvais. D’habitude, je bondis embrumé sur le réveil et l’éteint pour me rendormir aussitôt une heure ou deux. Continuer la lecture →

Je suis passé vers vingt et une heures sous les fenêtres de Florence Lemoine, et j’ai constaté avec satisfaction que les lumières étaient allumées. Elle n’est donc pas restée à Paris dormir avec Continuer la lecture →

Hier, je ne me suis levé qu’à midi. La soirée de la veille m’a empêché de faire mieux – et encore je n’étais pas content du tout au réveil, vous imaginez. De me faire avoir de cette pauvre manière. Continuer la lecture →

À nouveau très beau temps ; mais à cause de l’orientation de mon appartement, je ne sens pas la chaleur que je sais régner dehors. L’air est doux. Propice à la joie douce, à l’amour. Continuer la lecture →