Ce soir, dîner avec Florence. Rapide, comme toujours avec elle. Une chaleur extraordinaire dans la ville, bondée dans le centre, et vide dès qu’on s’en éloignait un peu, dans le soir qui tombait peu à peu Continuer la lecture
Archives mensuelles : juin 2025
Vendredi 16 juin 2000, Nantes
Réunion avec Kinexperience ce matin, pour discuter du prochain projet : nous sommes près de l’abandonner, vu que ça se passe mal. Mais Ermold tient qu’on s’est trop engagés (vis-à-vis de notre distributeur : Continuer la lecture
16.VI.00
Jeudi 15 juin 2000, Nantes
Écouté au lever l’album Dummy de Portishead, qui mérite bien d’être classé dans les chefs d’œuvre de la décennie précédente Continuer la lecture
Mercredi 14 juin 2000, Nantes
Enfin un jour de tranquillité, où j’ai pu récupérer de la fatigue de ces derniers temps (les trois jours du weekend, le soir arrivé, je ne tenais plus debout — Ermold et Broerec non plus d’ailleurs) : Continuer la lecture
Jeudi 8 juin 2000, Nantes
Encore toute la journée à courir dans tous les sens pour VidéOzone, sous une chaleur liquéfiante ; les problèmes sont loin d’être tous résolus (comment montrer l’installation notamment, mais Continuer la lecture
Mercredi 7 juin 2000, Nantes
À cause de tout ça, de ce nouvel accès de mon sentiment si puissant de déchéance, je ne me suis levé qu’à onze heures passées, et le reste de la matinée, je l’ai dépensé à lire un récit d’Amélie Nothomb Continuer la lecture
Mardi 6 juin 2000, Nantes
Cette nuit, pas dormi plus de trois heures. Entre trois et six heures du matin, impossible de trouver le sommeil, et à six heures, je devais me lever (dieu merci, pour la dernière fois cette année). Continuer la lecture
Lundi 5 juin 2000, Nantes
« Pour moi, l’amour sexuel n’est pas simplement l’explosion joyeuse de l’orgasme, c’est retenir un homme dans mon ventre. Un homme ne peut jamais connaître la solitude que connaît une femme — une femme dont la matrice est vide. »
C’est Florence Continuer la lecture
Dimanche 4 juin 2000, Nantes
Resté tard au lit. Lu Anaïs Nin. Quelques coups de téléphone (dont un inutile à un Ermold très négatif[1]), mais vu personne ; et pas mis le nez dehors. Cherché à travailler, mais avec d’autant moins de Continuer la lecture