Pauvre Florence… Pauvre petite fille enfermée en elle-même. Un appel parce qu’elle voulait « me demander conseil à propos de quelque chose qui [la] tracasse terriblement ». À l’issue de la conversation, Continuer la lecture
Mercredi 18 octobre 2000, Nantes
Sale journée. Pluie continue. Froid. Pas assez dormi. Mal travaillé. Sieste lourde tout habillé dans le lit. Trop enrayé pour aller au cours de yoga. Continuer la lecture
Mardi 17 octobre 2000, Nantes
Nuit agitée, coupée de rêves étranges ; mais je n’arrive jamais à m’en souvenir au-delà de quelques traces. Continuer la lecture
Samedi 14. Nantes
J’ai appelé Florence à son travail. Un garçon a décroché, et me l’a passée ; j’ai suggéré que je n’appelais peut-être pas au bon moment, et elle a lâché un « Oui, c’est ça. À bientôt. » avant de raccrocher. Continuer la lecture
Vendredi 13 octobre 2000, Nantes
Séance correcte chez le docteur Moreau (mais je ne vois le bout de rien…), puis passé voir Papa à la clinique : il semble aller bien ; mais c’est bizarre de le voir là, et dans cette situation, couché, avec des sondes et Continuer la lecture
Jeudi 12 octobre 2000, Nantes
Un appel de Papa peu après midi : on lui a opéré une petite résection de la prostate ce matin, il est de retour dans sa chambre depuis une heure à peine, et n’a pas du tout eu l’air de présenter Continuer la lecture
Mardi 10 juin 2000, Nantes
Terminé un nouveau chapitre : sur « l’épistémologie galiléenne » et la grammaire générative. Trente-deux pages. Vers une heure et demie du matin, un appel d’Ermold saoul comme un cochon Continuer la lecture
Lundi 9 octobre 2000, Nantes
Invité hier soir à Guérande à une petite fête chez les parents de Mathieu pour fêter ses trente ans. Une drôle d’idée qui est en train de faire son chemin, après que la même chose se soit passée pour Mathix cet été Continuer la lecture
Samedi 7 octobre 2000, toujours Nantes, toujours le Flesselles et l’Atomixeur
Mes résolutions de limiter les sorties commencent mal : j’ai refait aujourd’hui le même circuit qu’hier. Autant d’alcool, de conversations sans autre feu que celui de l’énervement. Autant de Continuer la lecture
Vendredi 6 octobre 2000, Nantes
L’amour rend les gens beaux, les femmes surtout bien sûr. Sylvia n’était pas mal, par exemple ce soir. De la voir si caressante avec son nouveau mec m’a fait ressentir une pointe de jalousie — aucune femme Continuer la lecture