Très mou encore. L’après-midi à Saint-Nazaire pour surveiller un examen — avec la voiture de Mathieux, c’est le fait le plus marquant. Mathieux avec qui j’ai passé deux heures à discuter chez moi Continuer la lecture
Mercredi 17 mai 2000, Nantes
Journée de la manifestation VidéOzone autour de Loïc au Flesselles, donc intense en préparatifs pour tout le monde (comme hier), et très fatigante. On a beau n’être plus que deux dans l’asso, Continuer la lecture
Lundi 15 mai 2000, Nantes
Encore une journée speed, où je n’aurai pas mis le nez dans ma thèse (si on ôte que je suis allé chercher des bouquins à la BU, mais on ne peut pas dire que cela soit travailler). Ermold ne facilite pas les choses, Continuer la lecture
Dimanche 14 mai 2000, Nantes
Journée d’été, très chaude. J’ai changé mes meubles de place, déménagé des bibliothèques, fait du ménage. J’en avais assez que l’appartement ressemble à un souk. Puis à une réunion Continuer la lecture
Samedi 13 mai 2000, Nantes
En rentrant, un message de Florence. Qui commence par faire remarquer que bien sûr je ne suis pas là, puisqu’« on est samedi soir » ; elle a trouvé un travail à Paris, « dans le 1er, un quartier que j’adore » : Continuer la lecture
Jeudi 11 mai 2000, Nantes
Je n’arrive même pas à me rappeler ce que j’ai fait aujourd’hui — preuve que ça n’était pas passionnant. Soir à l’Olympic avec Loïc et Philippe, plus par envie d’aller à un concert qu’autre chose. Continuer la lecture
Mercredi 10 mai 2000, Nantes
Hier soir, rentré fatigué, et donc très déprimé. Une soirée solitaire de défaite, mais seule façon que j’ai pu envisager de ne pas m’étioler de manière insupportable. Diluer Continuer la lecture
Lundi 8 mai 2000
Dormi à six heures du matin seulement. Je suis capable de souffrir pour quelqu’un beaucoup plus que je n’ai su l’aimer… Continuer la lecture
5, 6 et 7 mai 2000
Trois jours, globalement, de grande médiocrité, où je me suis beaucoup débattu, et souvent battu moi-même. J’ai d’ailleurs Continuer la lecture
Jeudi 4 mai 2000, Nantes
Ce matin lorsque le réveil a sonné à huit heures, je rêvais ; je ne me souviens plus de quoi, mais je rêvais. D’habitude, je bondis embrumé sur le réveil et l’éteint pour me rendormir aussitôt une heure ou deux. Continuer la lecture