Vendredi soir, une cuite avec Broerec au 13&3, joyeuse[1] ; samedi, au même endroit avec Greg, puis avec les frères Joubert, Adalard et Wolbodo, où j’ai à nouveau pas mal bu. Moins Continuer la lecture
Archives de catégorie : notes XVII. « Ne pas emporter avec soi d’objets lourds ou encombrants »
Vendredi 10 septembre 1999, Nantes
Ça me met en rogne dès le matin. A nouveau un endroit où la communauté internationale se discrédite : le Timor Oriental, un petit territoire coincé sur une moitié d’île à l’autre bout du monde (enfin par rapport à ici). Continuer la lecture
Jeudi 9 septembre 1999, Nantes
Téléphoné à Madeleine en fin de soirée : je n’avais pas eu de ses nouvelles depuis qu’elle est repartie courant août. Parlé de la Confédération Paysanne, « la Conf’ », le syndicat agricole de gauche pour lequel elle travaille, Continuer la lecture
Lundi 6 septembre 1999, Nantes
Aujourd’hui, je n’ai pas travaillé à plus de 5% de mes capacités : autant dire que je n’ai rien fait. À moins de considérer que c’était une étape (dommageable mais) peut-être nécessaire de ratiocination, on peut dire que je n’ai rien fait. Continuer la lecture
Dimanche 5 septembre 1999, Nantes lourde
Hier, traîné jusqu’au milieu de la nuit, encore. Continuer la lecture
Samedi 4 septembre 1999 (que s’est-il passé déjà le 4 septembre ?)
Marko a démissionné de l’Éducation Nationale. Il renonce aux bénéfices de son CAPES : c’est maintenant comme s’il ne l’avait pas eu. Joris me l’apprend. Les circonstances de cette Continuer la lecture
Vendredi 3 septembre 1999, Nantes
Voilà longtemps que ça ne m’était pas arrivé : en milieu d’après-midi, vasouillard, je me suis mis sur mon lit pour entamer Contre la méthode de Feyerabend que je venais d’acheter, et je me suis endormi comme une masse Continuer la lecture
Dimanche 29 août 1999, Nantes
36 pages ce soir. Mais, à part les weekends, je n’ai pas fait grand-chose d’autre ces deux dernières semaines — j’ai quand même trouvé le temps d’écrire à Clément. Continuer la lecture
Mardi 17 août 1999, Nantes
Bon, j’en suis à quatorze pages ; j’évite (autant que possible) de me demander si je serai dans les temps. Là, ça va à peu près parce que j’ai dégrossi la partie tout le reste de l’été. C’est d’ailleurs la difficulté, Continuer la lecture
Dimanche 15 août 1999
À nouveau rêvé (ça ne m’était pas arrivé depuis longtemps) d’avoir les paupières comme soudées, d’être dans l’impossibilité d’ouvrir les yeux ; dans la pénombre, avec les efforts les plus démesurés, Continuer la lecture